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Avec ses 12 dimanches au programme et ses compensations financières aléatoires soumises à un éventuel accord collectif ou plus certainement à une décision unilatérale de l’employeur, l'article 80 de la loi Macron n'était pas la panacée pour nous, les salariés du commerce. Depuis ce 5 mai, suite à un gros travail de sape de Bompard et des «grandes enseignes», notre sort s'est encore dégradé. Un amendement du sénat, adopté à l'unanimité, classe les commerces de biens culturels dans la liste des dérogations au repos dominical. (Lire le tract) (Signer la pétition)